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| En el alma sólo tengo soledad (ellie) | |
| Auteur | Message |
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Joaquín Ribelles Membre this is africa ❖ AGE : 43 ans ❖ ORIGINES : argentine ❖ JOB : producteur, réalisateur ❖ STATUT : veuf
❖ MESSAGES : 427 ❖ À J-BAY DEPUIS : 26/10/2013 ❖ CRÉDITS : © yourdesigndiary ❖ DC : Rafaele, Royce, Rodney ❖ POINTS : 34
| Sujet: En el alma sólo tengo soledad (ellie) Lun 10 Mar - 15:47 | |
| ► ES LA HISTORIA DE UN AMOR, QUE NO HAY OTRO IGUAL, SIEMPRE FUISTE LA RAZÓN DE MI EXISTIR ADORARTE PARAMI FUE RELIGIÓN - luz casal ------------✵-------------
La petite ville de pêcheurs, tranquillement bercée dans sa routine, la côte dentelée du cap oriental n’a pas échappé à la déferlante moderne, l’éruption d’hôtels, de restaurants, de cafés… Pourtant, malgré toutes les transformations, l’âme un peu hippie de cette petite bourgade n’a pas disparu. Il avait toujours aimé ce charme un peu éthéré des rues de Jeffrey’s Bay, les littoraux tranquilles, et les cafés atypiques. Il erre, suit ses pas, sans vraiment y penser, voit les gens sans vraiment les regarder, qui se baladent mains dans la main, insouciants et dans le confort rassurant du présent. Vingt-quatre ans déjà. Presque un quart de siècle depuis son dernier passage, dernier et premier en fait. Il était jeune, probablement con aussi, avec des rêves pleins la tête et ce refus de grandir, de devenir sage, adulte. Depuis toujours, l’ailleurs emplissait ses rêves, rapidement, les faubourgs de son Argentine natale ne lui ont plus suffi. Il a eu envie de partir, de bousculer les normes de vie, les règles, aller voir de quoi était fait ce monde si vaste et si mystérieux. A part l’eastgate township, cet endroit est le seul à n’avoir pas changé, ni de décoration ni de propriétaire. L’Ozone Café. Il revoit avec un sourire amusé et un brin nostalgique, les soirées passées là pendant son séjour, dans l’atmosphère chaleureuse des soirées d’été. Installé au comptoir, contemplant d’un air absent le fond de son verre, perdu dans les images que son esprit ressasse en boucle, comme une litanie. Derrière le bar, un vieil espanol expatrié depuis aussi longtemps qu’il peut se souvenir, termine d’essuyer quelques verres. Il était déjà gérant du bar, l’œil vif et la langue acérée, et le revoir après toutes ces années est une espèce de clin d’œil à ce chemin parcouru. Comme un pied de nez, c’est une voix de velours qui est à l’honneur ce soir sur la petite estrade. Il ne voit pas le visage de la jeune femme, mais les mots qu’elle chante lui vont droit au cœur. « Puede destrozar todo aquello que ve, porque ella de un soplo lo vuelve a crear como si nada, como si nada, la quiero a morir… »
Un sourire un peu amer se peint sur ses lèvres. Il n’a pas le droit d’être triste, il le sait, ils ont vécu de merveilleuses années, malgré tout, ce vide se creuse un peu plus chaque jour, c’est comme si plus rien n’avait le même éclat, comme si les choses avaient tout d’un coup perdu leur beauté. Son téléphone sonne, c’est Charlene, il avait promis qu’ils se retrouveraient pour dîner, avec d’autres amis ; elle avait fini par le persuader d’accepter de sortir de cette chambre, devenue trop vide, et trop spacieuse. |
| | Ellie Akins Membre this is africa ❖ AGE : 24 ans ❖ ORIGINES : Britanique ❖ JOB : Photographe ❖ STATUT : Célibataire
❖ MESSAGES : 273 ❖ À J-BAY DEPUIS : 28/02/2014 ❖ CRÉDITS : youdesigndiary ❖ TOPICS : 3/3 ❖ POINTS : 64
| Sujet: Re: En el alma sólo tengo soledad (ellie) Mer 12 Mar - 10:52 | |
| Cela faisait faisait près de 8 ans que j'avais quitté mon Irlande natale pour l'Afrique du Sud. J'avais été au début pas mal désorienter. La ou en Irlande tout était vert, ici les paysage étaient plus désertiques, du sable partout et la chaleur aussi. Quelle chaleur ! J'avais pris l'habitude de relever ses cheveux à l'aide d'une baguette, d'un stylos ou de ce qui me tombait sous la main et c'est ainsi coiffé que je sortis de chez moi ce soir-là. J'avais réussi à reléguer la surveillance de Cameron à Kate pour ce soir, je devais sortir, et continuer mes recherches. En sept années, je n'avais pas vraiment avancé. Je me souviens de quand j'avais dix-huit, décidé à partir loin de chez moi pour retrouver mon père biologique. Qu'imaginais-je le retrouver en posant les pieds à l'aéroport ? Une chose est sur, je ne me doutait que celà mettrait autant de temps. Il faut dire aussi que j'avais décidé de prendre ma vie en main et de faire des études en attendant que les recherches fructifient.
Je me dirigeais vers le centre ville pour rejoindre un bar ou d'après ma dernière sources, j'avais des chances de trouver quelqu'un qui aurait connus l'homme que je recherchais. J'espérais que cette fois ci se ne serait pas une source sans fondements et que tout n'aura servit à rien. C'est ce qui s'est passé un nombre incalculable de fois. Les gens veulent vous aidé, grand bien leur fasses mais se n'était pas vraiment m'aidé que de m'envoyer aux quatre coin du pays sur des pistes dont ils n'étaient même pas sur. Je m'arrêtais devant l'adresse indiqué. Un bar, l'Ozone Coffee, se tenait là. J'y allais de temps en temps avec Inara ou Kate, mais jamais je n'avais vraiment fait attention à l'atmosphère de se petit bar. Chaleureux mais à la déco plutôt simple. La voix qui m'accueillit fit disparaître tout mes doutes et toutes mes questions. Peut importe que cette pistes aboutisse ou pas, j'aurais l'occasion de continuer mes recherches, le temps ne pressait pas. Je me dirigeais vers le comptoir ou je savais trouver le propriétaire. c'ets vers lui que le ciel homme qui avait hébergé ma mère vingt quatre ans auparavant m'avait envoyé. Pourquoi je l'ignorais mais une chose était sur, je n'allais pas tarder à le savoir.
-"Que puis-je vous servir mademoiselle ?"
Sa voix à lui contrastait violement avec celle de la chanteuse et pourtant une incroyable harmonie résonnait pourtant dans la salle. Etait-ce le lieux qui faisait ça , ou bien peut-être, mon angoisse sourde. Certainement les deux ! J'hésitais longuement, je n'étais pas la pour boire, et je ne comptais pas m'éterniser si il n'avait pas d'informations intéressantes à me confier.
-"Rien je vous remercie" dis-je poliment. "Par contre je pense que vous pouvez m'aidez dans mes recherches." Je tirais de ma vestes une photo de ma mère jeune, prise à peu près à l'époque de son séminaire qu'elle avait fait ici. "Je me demandais si vous aviez déjà vu cette femme il y a une vingtaine d'années. Je sais que ça remonte à très loin, mais j'ai besoin de savoir. Elle s'appelle Moïra O'Donell, je me disais que peut-être vous connaitriez des gens avec qui elle aurais passé du temps, des amis, voir peut-être des... un hommes avec qui elle aurait eu une relation amoureuse éventuellement." Evoquer la possibilité que ma mère ait pu sortir avec plusieurs hommes ne m'avait pas du tout effleuré l'esprit avant ça. Comment ferais-je si c'était le cas ? Concentrée sur mes recherches je n'avais pas fait attention aux autres personnes assise dans la salle, un couple tout au fond, près de la scène, un groupe de jeunes un peu plus loin. Deux ou trois personnes par-ci par-là, un homme typé argentin au bar à quelques mètres de moi. |
| | Joaquín Ribelles Membre this is africa ❖ AGE : 43 ans ❖ ORIGINES : argentine ❖ JOB : producteur, réalisateur ❖ STATUT : veuf
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| Sujet: Re: En el alma sólo tengo soledad (ellie) Jeu 13 Mar - 18:52 | |
| On croit toujours que ça n’arrive qu’aux autres, mais un jour, ça nous percute de plein fouet et il n’y a rien qu’on puisse faire contre, il faut savoir accepter qu’on ne maîtrise absolument pas ce jeu, qu’on n’est là que pour un temps très court. Je m’étais fait un point d’honneur à ne perdre aucun des instants qui me seraient donnés, ai-je réussi ? Je n’en ai pas vraiment l’impression ; je me prends conscience des actes manqués, des ratés, des choses que je n’ai pas dîtes alors que j’aurais dû, toutes ces occasions qui ne se présenteront plus. Je la revois encore me disant qu’il n’y a rien de plus important dans une vie, que d’être en accord avec soi-même quitte à vivre en marge du reste du monde. J’ai toujours su, même si elle ne l’a dit qu’à demi-mots, cette fragilité qu’elle portait en elle, dans chaque pore de sa peau, dans ce regard toujours brûlant de passion et de fougue mais parfois si fragile et vulnérable. C’était ce qui m’avait plus chez elle. Je me demande ce qui m’a amené ici, dans cet endroit qui n’est aucunement rattaché à Maïte, dans lequel elle n’a même jamais mis les pieds et qui est le lieu par excellence où j’étanchais ma soif d’amours légères et sans promesses ; c’est étrange…Peut-être est-ce une tentative inconsciente, sans grande conviction, de faire comme si la vie pouvait continuer, comme si je pouvais aller de l’avant en ignorant la plaie béante. Qui puis-je bien berner ainsi ? Sûrement personne. Je n’ai même pas encore eu le cœur à retirer mon alliance, comme si le simple fait de la porter annulait ce jour de juin, cette brûlure à vif, où elle m’avait été enlevée. Vieux con. Sentimental par dessus le marché. D’un signe, comme à l’époque, je demande un autre verre. Il ne dit rien mais je vois son regard, comme celui d’un père, qui me dit que l’alcool n’est ni un refuge, ni une solution. « Sé que duele… » Dit-il en remplissant mon verre de son meilleur Bourbon. « .. pero alcohool no es una solución. » Il jette son torchon sur son épaule et complète « mi esposa solía decir que la vida demasiado corta para compadecer. » Je souris et au moment où j’ouvre la bouche pour répondre, il accueille une nouvelle cliente qui vient de franchir le seuil pour venir s’accouder au comptoir. Elle ne pense pas consommer, ni s’attarder. J’entends ce qu’elle dit : des informations, c’est ça qui l’a fait entrer. Des recherches, probablement sur ses origines, ses racines ou je ne sais quoi. Et puis ce nom ricoche dans mon esprit : Moira O’Donnell. Il me faut quelques instants pour réaliser que ce n’est pas mon cerveau qui me joue un tour, mais bel et bien le nom que la jeune femme vient de prononcer. « Excusez-moi, vous avez bien dit Moira O’Donnell ? » Ma surprise fait que j’en ai oublié toute convenance. « Je n’ai pas pour habitude d’écouter aux portes, mais je n’ai pu faire autrement qu’entendre. Je pense pouvoir vous aider. » Au moins un peu en tout cas. « Vous êtes-sûre que vous ne voulez rien boire ? » Me hasardais-je pour détendre l’atmosphère, bien loin de me douter que j’étais en réalité la réponse à ses questions. |
| | Ellie Akins Membre this is africa ❖ AGE : 24 ans ❖ ORIGINES : Britanique ❖ JOB : Photographe ❖ STATUT : Célibataire
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| Sujet: Re: En el alma sólo tengo soledad (ellie) Mar 1 Avr - 14:52 | |
| Je fixe l'homme devant qui regarde avec attention la photo de ma mère. Il s'attarde dessus signe qu'il l'a déjà vue. Je prie en silence pour qu'il se rappelle quand et avec qui même si l'espoir reste super mince. Avant que j'ai pu récupérer la photo des mains du barman, un autre homme intervient me demandant de confirmer mes dires. J'ouvre la bouche pour confirmer le nom de ma mère, mais il me coupe pour s'excuser. Je profite qu'il parle pour l'observer plus en détail. On remarque sur son visage qu'il a déjà bu plus d'un verre, pourtant il me semble sobre dans sa manière de me parler. une petite barbe de plusieurs jours, mais un regard vivace. Des yeux foncer, des cheveux de la même couleurs, il a tout d'un hispanique argentin. "Je pense pouvoir vous aider." Sa phrase percute mon cerveau avec un impact puissant. Si cet homme se souviens du nom de ma mère sans même avoir besoin de voir sa photo, c'est qu'il a du la connaître assez sérieusement. Je ne connais pas du tout cet homme pourtant je décide quand même rester pour l'écouter et lui poser mes questions. -"Je vais prendre une bière" dis-je en restant dans la simplicité. Je m'installais prêt de lui au bar et attendait tranquillement ma bière. Ou pas. Mes mains jouaient nerveusement avec mon bracelet. Quel réaction stupide ! Je tombais enfin sur quelqu'un capable de me donner de bonnes informations et je devenait nerveuse comme cheval en foire. La pinte de bière devant moi et le noeuds dans mon estomac se rompt comme si la boisson me donnait le courage d'entendre une possible vérité.
-"Je ne me suis pas présentée, je suis Ellie Akins" dis-je en guise de préambule. "Je..." J'hésite, je ne sais pas quoi dire d'autres. C'est simple pourtant, je n'ai eu aucun mal avec le barman avant. Je bois une bonne gorgée de bière, je laisse fondre la mousse duveteuse dan ma bouche qui laisse ensuite place au liquide ambrée légèrement alcoolisé. J'ai bien fait d'opter pour un classique. Le gout du malt retentit à la fin de la gorgée et j'inspire un bon coup.
-"Vous avez connu Moïra O'Donnell n'est-ce-pas ?" je demande en posant la photo de ma mère devant lui sur le comptoir. Ce geste semblait inutile mais je préfère le faire histoire d'être sur que l'on parle bien de la même Moïra. "Je suis sa fille et je recherche des gens l'ayant connu il y a une vingtaine d'année." continue-je sans penser que cette tournure dans les présentation pourrait faire penser qu'il lui soit arrivé quelques chose. |
| | Joaquín Ribelles Membre this is africa ❖ AGE : 43 ans ❖ ORIGINES : argentine ❖ JOB : producteur, réalisateur ❖ STATUT : veuf
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| Sujet: Re: En el alma sólo tengo soledad (ellie) Dim 6 Avr - 18:03 | |
| L’effet est immédiat. « Je vais prendre une bière » annonce-t-elle en prenant place sur le tabouret d’à côté, au comptoir. C’est drôle en fait comme la vie peut faire des pieds-de-nez, des pirouettes et nous ramener en un clin d’œil à des années bien révolues. Jamais je n’aurais cru entendre à nouveau parler de Moira O’Donnell. Pas de doute possible c’est bien d’elle qu’il s’agit, la photo que la jeune femme pousse vers moi le confirme, ce sont bien ses traits que je reconnais, un peu transformés par les années, mais à peine, comme si le temps l’avait simplement caressée. Vingt-quatre ans, presque un quart de siècle. Les images de cette soirée, ici-même, me reviennent, douce farandole, les notes se sont un peu perdues en chemin mais j’entends encore la voix chaude de la jeune Moira. « Je ne me suis pas présentée, je suis Ellie Akins… je.. » Je lui souris. Ellie, c’est un bien joli prénom. « Je m’appelle Joaquin Ribelles. En effet, j’ai connu Moira il y a des années… » Ses yeux, ce regard, cette façon de parler, j’ai presque l’impression de revoir Moira, à l’exception de la couleur de cheveux qui n’est pas la même, j’ai le souvenir d’une chevelure flamboyante. « Je suis sa fille et je cherche des gens l’ayant connu il y a une vingtaine d’années. » On ne ferait pas mieux si on avait voulu nous mettre en présence, je trouve que c’est une coïncidence amusante. Maitenant, je comprends pourquoi je lui trouvais une ressemblance avec la jeune femme de mes souvenirs. « Tu as hérité de sa beauté. » Elle est intelligente, elle comprendra sans doute que ce n’est pas pour draguer que je l’ai dit. Je prends la photo et tout d’un coup, une question me frappe et l’urgence de la poser me saisit. « Elle va bien au moins ? » J’espère que je n’ai pas fait une gaffe, que ces questions ne font pas suite à un décès. Je devrais réfléchir avant de parler, pas après. « J’ai connu Moira il y a un peu plus de vingt ans, ici-même… Elle chantait ici quelques soirs par semaine… » je complète mon récit d’un geste indiquant ce qui est maintenant un coin avec des tables. « Il y avait une scène autrefois. » Un sourire se dessine sur mes lèvres alors que je cherche les mots. « Elle rendait tous les hommes fous, sa beauté et sa simplicité faisait mouche. Et son rire. Elle avait un rire contagieux qui aurait mis un mort de bonne humeur. » Il n’y avait pas eu plus de quelques soirées, mises bout à bout, à peine deux ou trois semaines, le temps d’une moitié d’été. |
| | Ellie Akins Membre this is africa ❖ AGE : 24 ans ❖ ORIGINES : Britanique ❖ JOB : Photographe ❖ STATUT : Célibataire
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| Sujet: Re: En el alma sólo tengo soledad (ellie) Mer 30 Avr - 22:17 | |
| « Je m’appelle Joaquin Ribelles. En effet, j’ai connu Moira il y a des années… » Je soupire de contentement. Enfin ! Enfin mes recherches allaient pouvoir avancé. J'ignorais quel liens ils avaient eu ensemble, mais mon instinct me disais que contrairement aux autres pistes celle-ci me mènerait droit sur la personne que je recherchais, dans tout les sens du terme. Je bois une gorgée de bière que je laisse couler doucement dans ma gorge. Le gout du malte arrive souvent à la fin de la gorgée, et c'est ce qu'il y'a de mieux dans la bière. Après tout, je suis pas irlandaise pour rien ! La Guiness me manque je l'avoue. Je souris un peu et remercie l'homme pour son compliment,. J'ai toujours trouver ma mère belle derrière ses airs stricte. Quand elle me lisait des histoire, toute petite, qu'elle prenait différente voix, et qu'on explosait de rire toute les deux. Ses moments avait vite disparut, remplacer par des leçon de morale sur mes manières, mon langage ou je ne sais quoi d'autre. -"Oh oui, elle va bien ! Enfin elle allait bien la dernière fois que je l'ai appeler , y'a trois mois." Je comprends maintenant que mon insistance dans mes recherches aurait pu lui faire comprendre qu'on malheur était arriver mais Dieu merci, ce n'était pas le cas. Mais à sa manière de s'être inquiéter, je comprends qu'il était plutôt proche d'elle.
-"Elle... Elle chantait ? Vraiment ? J'ai du mal à le croire tant cela ne correspond pas à la mère qu'elle à été." Je n'ai pas été malheureuse dans mon enfance, pas du tout. Même si mes parents étaient un peu dur en grandissant, il m'avait quand même montrer leur amour à plusieurs reprise et c'était le plus important. "En parlant d'hommes qu'elle rendait fous, vous n'auriez pas une idée d'un homme avec qui elle aurait eu une relation plus sérieuse que de simple flirt ?" Je savais que ma question pouvait paraître suspecte, mais je ne voyais pas comment aborder la chose autrement. |
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