Samwel "Sam" Marston
When I'm bored, I send a text to a random number saying "I hid the body... now what ?"
28 ans ◘ archéologue (actuellement assistant) ◘ garrett hedlund
sud africaines ◘ johannesburg ◘ hétérosexuel
riverbed ◘ divorcé


Borné, quand il veut faire quelque chose il le fait, que cela vous plaise ou non. Parfois même inconscient, tellement têtu qu'il irait se mettre en danger sans s'en préoccuper. • Garde très bien les secrets. Enfin, surtout les siens. Évitez donc de lui confier quelque chose de secret voir privé qui vous concerne. Il n'ira peut-être pas le crier sur tous les toits, mais s'il désire le partager avec quelqu'un, il le fera sans problèmes. • Plutôt sociable et ouvert, il ne se renferme sur lui même que lorsqu'il n'est pas d'humeur ou lorsque quelque chose ne va pas. Mais, véritable forteresse, il ne vous dira jamais ce qui cloche. Il est préférable d'attendre que ça lui passe. • Curieux, il est le premier à toucher à tout lorsqu'un panneau "ne pas toucher" est affiché. Il a tendance aussi à fouiner chez les autres. Surement à cause de cette manie de chercher des choses. Certains le prennent très mal. Ne soyez pas surpris qu'il se mette à ouvrir toutes les portes de chez vous pour voir ce qu'il y a derrière. Il peut aussi se montrer curieux quant à la vie privée des autres, il arrive à se montrer très sécurisant, les gens se mettant facilement à se confier. Ce qui reste une grossière erreur. Soit il déballera tous vos petits secrets à quelqu'un, soit il oubliera tout le lendemain parce qu'au final, il s'en fou complètement. • Franc, il dit toujours ce qu'il pense, que ce soit un compliment ou une reproche. Mais il ne sera jamais franc avec lui-même. Il lui arrive souvent de mentir sur son compte. • Intelligent et cultivé, même s'il se comporte comme un gamin il possède tout de même un diplôme d'archéologie et de hautes connaissances en histoire. • Débrouillard et bricoleur, il aime jouer les McGiver. • Bon guitariste et chanteur. • Sportif et casse-coup. N'a pas toujours l'air de connaitre le mot "sécurité". Il adore l'escalade et s'est même déjà essayé au parkour. • Aime se lancer des défis et en lancer à d'autres. Que ce soit un défis sérieux qui concerne votre vie professionnelle ou privée, ou un défis stupide qui consisterait à devoir avaler une araignée ou deux. • Derrière cette joie de vivre et ces conneries se cache le poids de son passé, de la perte de sa fille et de sa femme. • Possède un côté sombre qui se montre parfois, il se montre alors impulsif, parfois violent, cynique et fourbe. • Un brin charmeur, il aime flirter quand il est d'humeur, passer la nuit avec une fille et ne jamais la rappeler.

Qu'est-ce que la vie ? Pour vous, surement bien des choses. Pour un Marston, la vie se résume à une suite d'aventures. C'est semblable à un jeu de société, que vous jouez seul ou à plusieurs. Vous laissez le hasard vous lancer dans la vie, puis un jour, vous tirez une carte parmi tant d'autres et vous vous retrouvez face à un défi. Défi, épreuve, ultimatum, problème, bénédiction, obstacle... Appelez ça comme vous voulez. Un défi qu'il vous faut relever, quoiqu'il en coûte, si vous voulez pouvoir continuer à avancer. Oui, c'est comme ça que se résume la vie pour Sam. Une longue liste de défi à relever pour pouvoir aller de l'avant, pour pouvoir vivre. Il n'a jamais vraiment eu de problème à les traverser, tous ses challenges de la vie. Il a grandit avec son père, passant son temps à déménager à droite à gauche, à bourlinguer sans but précis, vivant au jour le jour. La philosophie de son père se résumait à "si tu veux quelque chose, prend-le." Alors si son père voulait partir, il partait. S'il voulait laisser son gosse tout seul, il le laissait tout seul. Il n'était pas le plus mauvais père du monde, mais pas non plus le meilleur. Il laissait Sam tout seul quand il eu seize ans. Par simple volonté. Ce n'était pas parce qu'il ne l'aimait pas, parce qu'il l'encombrait ou parce qu'il ne voulait pas de lui. Il aimait son fils, ça on pouvait en être certain et il lui a apprit beaucoup de choses. On ne peut pas dire que le père Marston avait apprit la vie à son fils, il lui avait apprit la survie. Il lui avait fait découvrir les beautés de ce monde, mais aussi les horreurs qui s'y cachaient. Et il ne lui montrait pas tout ça pour lui dire "tu vois c'est comme ça qu'on vit petit" mais plutôt pour lui confier "je vais t'apprendre à survivre parmi toutes ces règles gamin". (Son père ne l'appelait que rarement par son prénom, il préférait le surnommer petit, gamin, microbe, minus, crevette et tout autre synonyme de petit. Lorsqu'il l'appelait Samwel, vous pouviez être sur que le gosse avait fait une connerie.) Alors un jour, son père a simplement décidé de laisser son fils affronter le monde tout seul. Surement pensait-il qu'il était prêt à survivre sans son aide. Samwel avait fini par arrêter de se poser la question, il a juste continuer à jouer le jeu, en solo.

Il avait connu Johannesburg, Newcastle et Orkney avec son père, même s'il s'en rappelle que vaguement. En grandissant, il garda cette fibre de voyageur et passa un bout de sa vie dans plusieurs d'entre elles. Kimberley, Victoria West, Middelburg, Bisho, Port Elizabeth et enfin Jeffrey's Bay. Les deux dernières villes restent les plus importantes de sa vie. Port Elizabeth annonce sa graduation, son diplôme d'archéologie et sa vie à deux. Après cinq ans d'études et une année à suivre les traces d'un archéologue, il se retrouve à Port Elizabeth, prêt à affronter le prochain défi que la vie aller lui lancer. C'est à ce moment qu'il rencontrera Emery et qu'il tombera follement amoureux. Ça n'avait jamais fait partie de ses plans, mais en même temps, c'était ça que réservait la vie. Des surprises. Il est resté un an sur la case "en couple" avant d'oser passer à la case suivante "marié". Son père ne lui avait jamais dit que ces étapes de la vie étaient difficiles à franchir, que les cases semblaient beaucoup plus grandes et longues à traverser avant d'en atteindre une autre. Il n'était pas malheureux pour autant, ça non. Il n'avait peut-être jamais été aussi heureux de sa vie. Et pour la première fois, il décida de trouver un endroit où s'installer, un endroit où vivre. Terminé les voyages, les départs et les nouveaux emménagements. Il pouvait jeter sa carte de fidélité pour les locations de camions de déménagement. Emery et lui se trouvèrent un petit coin de paradis et cette ville se nommait Jeffrey's Bay. J-Bay représente alors l'engagement, l'installation, la vie mais aussi la perte.

Entre nous, il n'y a rien de plus rageant que de buter face à un problème. Tous les défis, les obstacles lancés à sa rencontre on toujours pu être traversés. Il n'avait jamais fait face à un problème si important. Et ce challenge s'est pointé, à l'improviste, comme un cheveux sur la soupe alors que le bonheur s'était confortablement installé. Peut-être était-ce ça le problème, le trop plein de bonheur. Qui sait ? Son père lui avait bien montré autrefois, que là où il y a des merveilles, il y a aussi des horreurs et que la barrière entre les deux était très mince. Fragile, bancale. Un simple coup de vent et votre bonheur s'écrase face au malheur, ou votre malheur se retrouve envahit de bonheur. Et tout a commencé par une excellente nouvelle. Une naissance. 3kg 100 de pure merveille, 45cm de beauté. Lucy, elle s'appelait Lucy. Il ne s'attendait pas à devenir papa si vite, à se retrouver face à ce défis de la paternité. Un défi qu'il avait préféré évité jusqu'ici, de peur de devenir comme son propre père. Il aurait souhaité avoir le temps d'en profiter, le temps de remplir pleinement son rôle. Mais le destin en avait décidé autrement. Comme s'il avait lancé les dés par mégarde et qu'il était tombé sur une mauvaise case. La barrière entre le bonheur et le malheur s'était ébranlée puis bien vite écroulée. Le diagnostic était tombée, le médecin leur avait maladroitement annoncé. On le comprend, annoncer à de jeunes parents que leur enfant n'atteindrait pas même sa première année. Il y a de quoi se sentir mal. Atrophie musculaire spinale. Maladie génétique incurable. Ce sont les seules choses que Sam avait retenu. Surtout le "incurable". Qui lui restait en travers de la gorge. Sa fille n'allait jamais pouvoir marcher, découvrir le monde comme lui l'avait fait. Elle allait perdre petit à petit l'usage de chacun de ses muscles, surement jusqu'à ce que le plus important d'entre eux ne lâche à son tour. Il profita des derniers instants avec sa fille un maximum, dénigrant sa femme qui se terrait dans un mutisme déprimant. Elle ne désirait plus s'occuper de sa fille, ne voulait plus la voir et ne voulait plus s'exprimer. Elle mangeait à peine et préférait passer des heures dans son lit. Sam se sentait impuissant et préféra se tourner vers Lucy, la seule qui semblait être capable de garder le sourire et la joie de vivre dans cette maison. La petite Marston perdit la vie à ses 5 mois. Une terrible perte qui affecta horriblement Samwel. Ils échangèrent leurs rôles, Emery semblait revivre, surement débarrassée d'un poids insoutenable (voir sa fille dépérir et ne pouvoir rien faire l'avait surement énormément touchée) alors que Sam plongeait doucement, mais surement, dans une torpeur léthargique. Un mur s'était construit entre lui et sa vie. Un mur infranchissable qui semblait grandir au fil du temps. Sa vie s'arrêtait là et ne pouvait continuer que s'il se décidait à escalader ce rempart imposant. Emery demanda le divorce, incapable de continuer à vivre dans une maison remplie de souvenirs de sa fille perdue et de côtoyer un mari fantôme qui n'avait été (je cite) qu'un incapable insensible et égoïste. (elle lui en voulait pour un tas de choses, notamment le fait qu'il avait privilégié sa fille à elle alors qu'elle traversait une mauvaise période, en plus du fait qu'il préférait déprimer plutôt que retrouver gout à la vie comme elle l'avait fait)

D'après une citation: "Quand on prend à un homme ceux qui lui sont le plus chère, il ne peut plus jamais être le même." Sam a toujours été un bout en train. Un homme d'apparence peu mature, qui aime s'amuser, croquer la vie à pleine dents, vivre au jour le jour. Sa femme l'avait trouvé romantique et spontané, en plus d'être drôle et attentionné. Il était un type ordinaire, pas parfait à cause de sa façon à vivre à cent à l'heure qui fatiguait parfois les autres, ou de ses sautes d'humeurs qui le rendait impulsif et grognon. Il aurait pu être un papa génial. Une pensée qui l'effleure encore quand il n'a pas le moral (ou quand il a trop bu). Mais après la perte de Lucy, le départ de sa femme et le début de sa dépression, tout a changé. Sa période de deuil fut longue et pénible (surtout pour les autres). Retranché chez lui, négligé, bordélique, violent, râleur et cynique. S'il lui arrivait de sortir, il n'était pas tendre avec les autres. Mauvais, oui il était devenu mauvais. Rongé par la peine qui obscurcissait son coeur. Sa vie venait de s'arrêter et il ne comprenait pas ce qu'il foutait encore là. Il se mit à vivre dangereusement (même s'il avait toujours eu un penchant pour le danger) attentant à sa vie de multiples fois sans jamais aller jusqu'au bout. Un ivrogne suicidaire et antipathique.

Ce comportement dura bien presque un an, ou plus. C'était difficile à dire, il avait perdu la notion du temps. Il se rappela son père, en tombant sur un vieux souvenir dans une malle planquée au fond de sa penderie. Un trésor trouvé par son père alors qu'ils effectuaient des fouilles pour le plaisir (c'est de là d'ailleurs qu'est venue sa passion pour l'archéologie). Il s'est souvenu de ses paroles, de ses conseils. Comme si vous aviez ouvert un tiroir et trouvé un guide de survie. Il refit surface, même si cela ne se fit pas en un jour. Il s'est reconstruit petit à petit, escaladant une partie du mur chaque jour, se rapprochant de plus en plus de sa vie, qui l'attendait bien sagement de l'autre côté. Il déménagea, quittant cette maison affreuse et hantée par de mauvais souvenirs (les mauvais ayant envahis les meilleurs) et s'installa presque de l'autre côté de la ville. Un nouveau départ. On ne peut pas dire qu'il repartait tout frais, rempli de gaieté et de joie de vivre. Il n'était pas "guéri" et ne le sera surement jamais. La seule solution pour avancer, le déguisement. Faire semblant. Son père lui disait toujours: "Parfois il est plus facile de faire semblant d'être heureux plutôt que de devoir expliquer pourquoi on ne l'est pas." C'est comme ça qu'est né le Samwel Marston que vous connaissez aujourd'hui. Un homme qui ressemble presque à 100% à l'homme qu'il était avant, mais avec cette noirceur, cette douleur et cette haine bien masquée derrière. Pour cette nouvelle vie, il décida de commencer autrement. (ne voulant pas répéter les mêmes erreurs que l'ancienne) Il laissa de côté la vie sentimentale et se concentra sur son travail qu'il avait négligé après son mariage. Les priorités avaient changés. Il trouva un poste d'assistant, se retrouvant à travailler avec un archéologue nommé Thane Breyten. Il voit ce travail comme une opportunité, de l'expérience en plus qui pourrait lui servir pour débuter un doctorat et alors se spécialiser en archéozoologie. (en sachant qu'il aime toucher à tout et que par conséquent il pourrait souhaiter devenir professeur ou changer de spécialisation à tout moment).

 Jackspirit
behind the screen
De retour ! Un gros désolé pour ce départ plus qu'étrange la dernière fois, quelqu'un avait visiblement fait mumuse avec mon compte (youpi ><) Par conséquent il (ou elle) m'avait supprimé du forum... J'ai du changer mes mots de passe partout avant qu'il n'y ai plus de dégâts. Par la suite j'ai eu des soucis de santé, donc me revoici parmi vous que maintenant ^^ Si vous voulez toujours de moi bien sûr x)

bienvenue sur tia
tu es validé
c'est parti !
Voilà, tu as fait le plus dur pour pouvoir rp sur le forum. Tu es donc validé avec plaisir, cependant n'oublie pas de faire certaines petites choses qui te prendrons quelques minutes histoire de bien commencer. Déjà, pour être pleinement validé, rempli ton profil entièrement et recense toi, ainsi que ton métier, ensuite tu peux faire une demande de logement et n’hésite pas à te créer un téléphone. Par ailleurs, tu auras peut être besoin d'amis/ennemis/amants, ce que tu veux, donc n'hésite pas à faire un tour du côté des fiches de liens (et t'en créer une surtout) et si ce n'est pas suffisant pour toi, tu peux toujours te créer un scénario, voir plusieurs. Pense à jeter un oeil aux points, afin de savoir comment cela fonctionne, par ici. Et bien sur pour que notre petit forum grandisse n'hésite pas à faire de la pub pour nous ♥. Pour finir, notre boite mp est ouverte, donc n'hésite pas à nous contacter en cas de problème. Bon jeu parmi nous !