Johnny O'Connor Admin À votre service ❖ AGE : 30 Ans ❖ ORIGINES : australien ❖ JOB : tueur à bookmaker ❖ STATUT : ne supporte pas les femmes (si si, il aime bien Reagan en vrai, mais il a une drôle de façon de le montrer)
❖ MESSAGES : 201 ❖ À J-BAY DEPUIS : 24/12/2013 ❖ CRÉDITS : yourdesigndiary ❖ DC : Gabriel&Amy&aileen&co. ❖ TOPICS : 2/2 ❖ POINTS : 25
| Sujet: (Liam hemsworth) Never underestimate the hunger of killing people Sam 22 Mar - 17:45 | |
| Johnny O'connor 30 ◘ bookmaker ◘ nico tortorella don't trust the angel face saturday night ◘ psychopate australien ◘ sydney ◘ hétérosexuelJohnny est le genre de type qu'on veut en ami et surtout pas en ennemi. Il est loyal, très loyal et il ne fait confiance qu'à très peu de gens. Trahissez le et ce sera probablement la fin de votre relation avec lui et celle de votre vie. Il n'a pas été élevé mais plutôt dressé, il ne sait pas comment marchent les gens. Lui, il fonctionne presque en automatique. Il vit, il fait, il dit, quand il le faut. Il sait s'amuser, même s'il ne s'amuse pas toujours comme vous et moi. Il a un sens de l'humour assez spécial. C'est une force tranquille qui ne s'énerve que rarement, mais lorsqu'il le fait, il vaut mieux être loin. Très loin. Il évite soigneusement les femmes et ne leur fait pas confiance, mais il reste un homme avec des besoins. Il adore chercher la merde pour voir si les gens vont sortir de leurs gonds. Il est parfois cruel, mais pas forcément en acte. Il a une morale discutable et peut paraître flippant. C'est un homme propre sur lui et qui ne supporte pas les gens qui se négligent. Il a un sourire magnifique, malheureusement, il est rare qu'il soit positif de le voir apparaître.
citation citation citation citation tell us everything about you sois précis, sois fantasque Mon regard se perd dans les méandres de mon esprit, je n’étais pas si mauvais, je n’étais pas si cruel, j’aimais la vie, mais au final, ma vie a viré au cauchemar, chaque jour, chaque minute, j’aurais hurlé, j’aurais pleuré – si je savais faire – j’aurais voulu dire, l’écrire, crier ma souffrance, mais j’étais trop con, trop jeune, trop petit, trop faible, jlai laissé gagner, me voler mon innocence, ma joie, mes espoirs, il a créé un monstre, il m’a créé moi, et il n’y a que rage dans mon monde. Vous voulez savoir ce que j’ai ressenti à mon premier meurtre ? Pour ne fois, c’était moi, qui avait la vie de quelqu’un en mon contrôle, j’ai enfin su ce qu’on ressentait, et j’ai aimé. Le petit jo a aujourd’hui quatre ans, il regarde son père, il est couvert de boue. Son père le lui a interdit, il le sait, il n’a pas le droit de s’amuser dans le jardin avec ces vêtements-là. Il fait sa petite moue de celui qui a été pris en flagrant délit, mais pas seulement. Il sait très bien ce qui arrive, il a peur, il tremble. Il commence déjà à pleurer. Ce jour-là j’ai pleuré à m’en déshydrater. J’avais si peur, j’ai crié que je le referais plus, que j’avais oublié, que je serais sage, je l’ai supplié. Pourtant, comme chaque fois, il m’a pris par le col, amené dans la chambre, il a sorti la ceinture, a trouvé ca inutile, a pris une chaise et me l’a balancé dans la figure. J’hurlais, je pleurais, mais jamais il n’a cillé. Je devais être dressé, je devais être conditionné. Pourtant, j’étais qu’un gosse, je pouvais pas me défendre. J’ai haï ma mère qui n’a jamais levé le petit doigt. SA chair, SON sang, m vision des femmes a démarré de là, les femmes sont toutes indignes de moi. Jo a bien grandi, il n’est plus surnommé Jo, Johnny a fait son entrée chez les hommes. iL n’a que quinze ans, mais la vie ne lui a fait aucun cadeau. Un coup perdu, sa mère a perdu la bataille, il est resté seul avec ce monstre. Il a compris, qu’au final, elle le calmait, ou prenait pour lui. Seul et effrayé. Il avait beau jouer les durs en dehors, quand son père était là, il avait la trouille. Ses blessures, ses cicatrices. Son père avait utilisé tant d »outils, tant de menaces, il avait brisé, peu à peu son fils. Ses traits avaient durci, sa joie de vivre avait disparu, il avançait dans un néant sans fin, un puits sans fond, et la mot n’était plus si effrayante, après tout.J’avais le couteau dans les mains, j’étais déterminé. Je fixais cette ordure. Je savais, il était temps. Mon regard n’avait rien de celui d’autrefois, l’innocence avait cédé la place à la haine, la rage, la brulure intense d’un ressentiment qui réduis en cendre chaque parcelle de mon être. Je ne sais plus parler d’amour, je ne l’ai pas vécu. Je ne sais pas aimer, je ne veux pas aimer. Je me suis avancé, j’ai enfoncé l’arme rendant mon bourreau aussi faible et vulnérable qu’un enfant, que moi. J’ai dix-huit ans, et je souris en continuant, enfonçant l’objet de satisfaction. Quand le sang coule, je souris. Je comprends papa, je comprends, merci, tu m’as donné le vrai contrôle, celui de renier la vie entre ses mains, d’une personne. Merci papa. J’ai quitté la maison de mon enfance, souvenirs d’un enfer, j’ai tout quitté, et j’ai changé de paysage. Ma vie prenait un nouveau tournant, que pour une fois, j’avais choisi. Johnny est connu, pas pour son charme – même si beaucoup se sont laissées charmées et avoir par ce minois d’ange, qu’il utilise, use et abuse. Il est bookmaker, il aime ça, il fait payer les gens, ou, les fait payer. Que ce soit la mort, ou l’argent, ou les deux que son employeur actuel réclame, il est efficace, il se fout de comment, il fait son métier et il le fait bien. Il se fout des gens, des femmes qu’il saute comme des poupées de chiffons. Certaines ont aimé, d’autres ont fui, terrorisées par sa façon de faire »ça ». Il n’aime pas le sexe, lui, son plaisir réside dans la douleur, la violence, la souffrance de son partenaire. Il est connu pour sa cruauté, les gens le craignent l’idéalise, mais la plupart tremblent rien qu’à son nom, et les autres, le découvrent trop tard. Le ptit jo est mort, laissant place à une créature avide de vengeance et qui a transformé ses peurs, ses démons, ses abus en force. Ce n’est plus lui qui subit, c’est lui qui contrôle, qui fait mal, qui inflige une souffrance, qui fait trembler. Il s’est juré de ne plus jamais être faible. Au final, son père a voulu le dresser, il a juste poussé un jeune garçon à transformer ses pires craintes en armes.Vous pensez m'avoir cerné ? Venez découvrir, à quel point vous n'avez aucune imagination. je suis bien pire que vos pires cauchemars, je les crée. Junkiie behind the screen Bon johnny a besoin d'un lifting entier parce que comme je voulais le virer par manque d'inspiration, bah il était à bout de souffle xD
Dernière édition par Johnny O'Connor le Mar 1 Avr - 23:27, édité 6 fois |
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