Taliah parker
27 ans ◘ chef de la secu du san marco ◘ meghan ory
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family tree ◘ célibataire
américaine & italiennes de moma ◘ NY ◘ bisexuelle

Taliah est une fille déterminée, qui fonce tête baissée et qui ne recule devant rien. Elle ne supporte pas qu'on la cherche et vous le fais savoir assez vite. elle n'aime pas qu'on lui dise ce qu'elle doit faire, à moins d'e^tre une autorité reconnue et encore. Elle mange peu et ça se voit, l'est pas grosse. Elle ne flirte pas avec les garçons, à croire qu'elle est insensible. En réalité elle préfère garder toute distance avec les gens. Ayant perdu son frère elle n'est jamais sortie vraiment de sa torpeur et n'a jamais fait son deuil. Elle est agressive parfois, glaciale, et aime chercher la petite bête quand elle est persuadée avoir raison. Quand elle a une idée en tête, allez y, faites ce que vous voulez, elle n'ira pas dans votre sens. elle peut être violente si on fait un geste brusque devant elle et en tant que flic ça lui a valu des remontrances pour brutalité policières. Avec son frère en revanche c'est un amour et on a l'impression qu'n a affaire à une toute autre personne. Elle le protège comme une mère poule et il est pas toujours fan mais elle s'en bats les steacks. Elle a des cicatrices sur ses bras (discrètes) et sur ses poignets et sur ses cuisses. Vestiges de blessures self-inflicted. Elle a très souvent des erreurs nocturnes voir diurne.

Fight back everyday
tell us everything about you
sois précis, sois fantasque


« Bon c’est bon on a compris t’as un pénis, Adam sors de la salle de bain ou jte le coupe ! » La puberté mes couilles ! Ce mec ne sait vraiment pas choisir son moment. Je n’ai jamais compris ce moment où le jeune garçon s’astique plus qu’il ne réfléchit. Ce n’est pas nouveau, après tout, ce gosse n’est pas un modèle d’intelligence. Mais c’est mon ptit frère. Jessie se marre et sort de la seconde salle de bain en me regardant conquérant. ]« Vire de là toi, que je me lave enfin ! » Je le pousse, lui mort de rire et je me prépare enfin, laissant le plus jeune faire ce qu’il aime tant faire. Une fois prête et l’autre gringalet aussi, je l’emmène en cours. Moi je conduis déjà, pas lui. Jessie se marre et part sur sa moto. Jessie a toujours été protecteur avec nous, mais légèrement un peu rebelle, là ou moi je suivais les règles à la lettre, mes règles. Nos parents disaient qu’on ne ferait pas grand-chose de moi, vu que j’écoutais que ma voix, et parfois, celle d’Adam, très rarement. Le petit, c’était comme une mère poule que je m’en occupais, et plus il grandissait et plus il détestait ça. Pas ma faute si la nature l’avait fait minuscule et chétif.

Quand Adam est mort, le monde de mon frère et moi s'est écroulé.. J’étais devenue la plus jeune, mais j’étais incapable d’atténuer la douleur, de prétendre que tout irait bien. Mon frère était mort en service et du coup je devais me laisser gérer par le plus grand. J’avais peur à tout instant qu’on me l’enlève lui aussi. Mais ce fut la décision que je pris qui souleva tout le monde contre moi. Devenir flic. Mon père haussa le ton, ma mère se mit à pleurer et mon frère fit une tête d’ahuri. Je savais très bien que ça ferait cet effet, mais mon frère ne devait pas être mort en vain et si je devais vivre avec cette rage au ventre, autant l’utiliser pour buter, pardon appréhender, tous les sales types responsables de la déchéance de cet environnement. J’ai fait mes classes et j’ai pu enfin, faire ce que je voulais. Le problème étant que je suivais plus ma vision de la justice que celle qu’on nous apprend. Diplômée, ils comprirent vite qu’ils auraient surement du continuer la formation. J’étais violente, peu aimable et j’appréhendais de manière significative. Mais au final, je faisais le boulot qu’on attendait de moi, et les voyous qui se plaignaient avaient fait bien pire.

J'ai rejeté mon frère, qui lui ne voulait que me protéger de tout ça, je devais m'en remettre à lui alors que j'avais toujours été très indépendante. Je devais me fier à lui, me blottir dans ses bras et tout ce que j'ai réussi, c'est me fermer davantage. Mon père aurait souhaité que je meurs et le grand que je je garde contact avec lui. J'étais pas fichue de digérer sa mort, j'étais comme à l'ouest et pendant deux semaine, j'ai presque fait la morte d'ailleurs. Mon frère a défoncé la porte, et allez savoir pourquoi, toute crasseuse que j'étais, jme suis jetée dans ses bras, et j'ai pleuré. Il m'a serré fort et une larme a coulé. Il savait, il avait comprit, il m'en voulait pas. On a fini par recoller les morceaux, et à présent j'ai un frère sur le dos, youhou. Il était prof de sports de combat, moi j'étais flic, on avait tous les deux trouvé un moyen de noyer nos démons, de se défouler et de faire payer , pour lui à des mannequins, moi à de salauds, a mort de notre frère.

C’est bien vite que les terreurs nocturnes ont commencées. Je voyais la scène, la fusillade, je voyais mon frère tomber, le sang. Je ne supportais plus qu’on me touche sans réagir de manière abrupte et tout vola en éclats quand un des voyous que j’amenais au poste commença à parler de mon frère. Il disait qu’il l’avait vu se faire abattre, comme un chien qu’on pique. J’avais perdu mon sang froid, je l’avais tabassé devant l’air outré de mes collègues. Mise à pied pour quelques mois, j’avais du réapprendre ce que c’était de ne pas être sur le qui-vive, active, et les terreurs étaient de plus en plus fréquentes. C’est quand j’ai rencontré Sandro que j’ai pensé à ne pas reprendre mon poste. Choisir un poste qui me conviendrait mieux. On m’avait parlé du San Marco, et je savais qu’ils étaient assez pro sur la sécurité et peu regardant sur comment ça se déroulait. J’ai postulé et la nouvelle directrice fut désireuse d’engager une femme, qui plus est, une femme qui n’avait pas froid aux yeux. Le fait que son frère soit un de mes ex en revanche me plut moins. A force de passer du temps avec le ptit nerd, je finis par passer de collègues à plus. Je ne savais pas les raisons de sa façon d’agir, ou les pensées qu’il avait parfois, mais pour moi il suivait ses propres règles et ne prétendait pas – devant moi – être quelqu’un de parfait. Il ne fut pas longtemps pour que nos corps s’entrechoquent au son de nos idées malsaines. Jessie le trouvait spécial, étrange, même si en apparence, ils se ressemblaient beaucoup.
junkiie
behind the screen
une mise à jour de la fiche <3