daniel gillies Gabriel Caulfield
35 Ans ◘ chirurgien ◘ séparéORIGINES ✖ anglaises ;
DATE DE NAISSANCE ✖ Ya 35 ans;
LIEU DE NAISSANCE ✖ Londres ;
ORIENTATION SEXUELLE ✖ hétéro ;
SITUATION PERSONNELLE ✖ marié, sépéré, papa d'une petite de 3ans et demi, sarah. ;
CARACTERE ✖ uc ;
GROUPE ✖ résident permanent.
tell us everything your story « Maman, il est tout rose mon ptit frère. T’es sure que c’est un garçon ? Il est moche en plus. » Les premiers mots de Gabriel à l’arrivée de son petit frère. Il hurlait à s’en décrocher les mâchoires, si petit, déjà si chiant, aux yeux de Gabriel qui venait d’être détrôné. Mais bien vite tout devint un cauchemar. Le bébé devenait bien trop bruyant, tant que Gabriel avait proposé de s’en débarrasser pour faire plaisir. Et puis il avait grandi, et compris, que ce petit être aurait besoin de lui. S’il avait su à quel point, il l’aurait noyé. Quand Jace fit ses premiers pas, Gabriel vit là une opportunité différente. Il commença à comprendre son rôle. Un vrai petit prince. A l’école fallait pas toucher son frère, sinon il mordait. Et plus il grandissait, et plus on évitait soigneusement d’approcher Jace sans avoir peur de voir Gabriel devenir rouge vif.
L’adolescence, ou le moment où Gabriel comprit que son petit frère finirait en petit con. Gabriel avait dix sept ans, et un avenir devant lui. Mais étant séparé de son frère, il n’avait plus de chaperon, personne pour le sauver de ses conneries. Résultat, jace changeait, et Gabriel aussi. Il ne savait pas si Jace gardait de la rancœur, parce qu’il se sentait abandonné, ou parce que c’était Jace. Qu’il avait envie de lui pourrir la vie. Il commença à comprendre que son frère était jaloux. Parce qu’il était le fils qu’on aime avoir, pas Jace. Jace était instable. « Maman tu comptes aussi faire une annonce publique ? C’est un A… » Gabriel avait toujours été excellent en cours et buchait toujours plus que les autres, oubliant même les filles, qui elles ne rêvaient que de lui. Il s’en foutait, ce n’était pas une femme qui lui donnerait un venir, et c’est tout ce qu’il désirait. Les parties de foot, les moments collés devant un film disparurent. Bien vite il n’eut plus le temps. Jace semblait lui en vouloir, mais Gabriel ne savait être autrement.
« Tu te souviens, ton frère ? » Dit un jour Jace énervé, alors que Gabriel l’avait encore lâché. Un match de foot, un bon plan pour visiter un coin sympa, un diner. Gabriel ne gérait pas son temps. Il ne savait pas éviter de décevoir les gens, absorbé par ses études de médecin qui lui bouffait chaque minute de son temps. Jace avait désormais dix sept ans ans, Gabriel en avait vingt-cinq et il avait sa propre vie, Jace semblai ne plus en faire partie.
« Tout le monde ne sait pas glander en attendant que ca te tombe tout cuit dans le bec Jace. Si je veux ce job, je dois bosser dur. » Et paf, une attaque. Il était à bout, fatigué et stressé, et Jace l’attaquait là où ça faisait mal. Mais quelques semaines plus tard Gabrie payait la caution et trouvait un super avocat pour son frère. Parce que peu importait les apparences, Gabriel tenait énormément à son frère, et chaque fois qu’il semblait abandonner l’idée que son frère soit un jour quelqu’un de sérieux, une lueur, un espoir survenait. Et il recommençait à y croire. Un éternel idéaliste guidé par l’amour inconditionnel d’un frère.
Et puis un miracle arriva. Gabriel devint chirurgien. Enfin interne en chirurgie plus précisément. Il touchait son rêve du bout des doigts. Jace ne l’avait jamais avoué, mais il l’admirait pour ça. Il cachait ca sous des insultes du genre « tous des gays les chirurgiens ». Ils se virent un peu plus, et Jace finit par tomber amoureux, ils grandissaient. Ils devenaient des hommes. Jace rencontrait Lena, Gabriel rencontrait Agnes. Gabriel était attiré par elle depuis un moment, mais pas moyen d’avouer à cette cliente qui venait prendre un café à emporter chaque matin au même endroit que lui – supposant qu’elle savait ce qu’était un emploi prenant - , qu’il était tombé amoureux. A force de le traiter de gay refoulé Jace réussit à le piéger avec cette dite Agnes. Gabriel, si sur de lui, perdit tous ses moyens, bafouillant, puis il finit par lui demander de sortir. Quand elle sourit, lui dit oui, Gabriel changea. Un rêve qu’il n’avait jamais envisagé. L’amour.
Ça faisait désormais un an qu’ils étaient ensemble. Gabriel tait radicalement différent. Si amoureux que son job avait pris une toute autre dimension. Il n’était pas encore un brillant chirurgien mais il s’en approchait. Il visait le poste de chef de chirurgie. Il en avait l’étoffe. De peur d’être pris par autre chose, il décida de s’unir à Agnes. Par une pluie diluvienne il sortit acheter des roses rouges, se piqua sur l’une des épines, arriva, en costard, trempé, tenant un bouquet qui ne ressemblait plus à rien, avec juste un écrin trempé à la main. Il ne saura jamais si elle eut pitié de lui ou si elle décidait de lui offrir sa vie. Mais quelques mois après il se voit offrir le job. Elle tombe enceinte. Une jolie petite est nommée Sarah. Sarah est l’amour de a vie. Mais il n’est pas là. A vrai dire, il n’est jamais là. Il essaye, il tente, mais il rente très tard et quand il sort avec sa fille il pourrait s’endormir absolument partout. A trente-deux ans Gabriel fait une attaque. Sorti de nulle part, la crise perturbe toute la petite famille et là où Jace lui hurle qu’il est trop con, Agnès le force à prendre moins d’heures. Il le fait, mais Gabriel commence à déprimer, ne supporte pas d’être à presque temps partiel. Ce n’est pas le cas, mais il le sent comme ça.
Agnès s’éloigne peu à peu de lui. Ils ne couchent plus ensemble depuis un moment. Et tout s’écroule quand Gabriel rechute. Agnes lui demande de quitter son job. Ils se disputent, il refuse, elle sort dehors, claquant la porte. Il passera ce soir-là à boire. Un mois plus tard, Agnès est rentrée, mais Jace vient lui tirer les oreilles. Ils se disputent.
« Tu devrais peut être oublier ton putin de job et tenir ta femme. » Gabriel ne comprend pas l’allusion. Jace s’explique. Gabriel se jette sur lui, lui écrase presque la trachée puis l’envoie valser contre la table. Agnès rentre, Gabriel a bu, il lui somme de prendre ses affaires et de sortir de chez lui. Il n’acceptera pas de trainées chez lui. Furieux il appelle Lena et l’informe de ce qu’ils ont fait. Ce soir-là, une partie de lui est ravi, Léna avait déjà des problèmes style « trust issues », elle a viré Jace de leur appartement. Sa vie est finie, la sienne le sera aussi. Gabriel devient agressif, il boit beaucoup, mais après avoir manqué une troisième crise, il réduit, mais reste acariâtre. La seule à lui donner le sourire c’est Sarah. Il ne comprend pas. Il ne veut pas penser au fait, qu’il a poussé sa femme à faire ça, Jace n’a jamais su se retenir avec une femme, et Agnès, sans le vouloir, voulait le blesser. Elle avait réussi. Ce soir là il décida que Jace était mort et qu’il était veuf.
now your turn behind the screen PSEUDO ✖ Junkiie ;
AGE ✖ 26 ;
OU AS TU CONNU LE FORUM ? ✖ Je sais pas;
UNE REMARQUE ? ✖ Nan ;
CONNEXION ✖ trop/7