Cameron Heigh Admin À votre service ❖ AGE : 28 Ans ❖ ORIGINES : Américain ❖ JOB : ex barman, ne fiche plus rien, est une grosse feignasse /loque. ❖ STATUT : célibataire
❖ MESSAGES : 507 ❖ À J-BAY DEPUIS : 20/10/2013 ❖ CRÉDITS : Junkiie ❖ DC : Voir PA XD ❖ TOPICS : A plus rp, je sers à rien XD (ellie /kasey /reagan) ❖ POINTS : 39
| Sujet: (luke mitchell) life has ways to let you down ~ cameron Sam 15 Mar - 13:09 | |
| Cameron Heigh 30 Ans ◘ ne travaille plus ◘ matt lanter let me die please it's easy groupe choisi ◘ situation perso américain, italien de sa mère ◘ New York ◘ homme des cavernesCameron a toujours été quelqu’un de orté vers les autres, même si on ne le voit pas, il a beau raler, il aime aider les gens. Pourtant, il a un sacré caratère .cYnique, ciiant, insuportable, collant quand il a envie de faire chier qulqu’un, distant quand il ve ut pas. Il était particulièrement agréable – ou presque – avant. Et quand les emmerdes ont commencés à pleuvoir, il a changé. Il est devenu irascible, les sourires se sont fait rares. Ils n’étaient plus que pour sa soeur, au départ, à la mort de leur père, pour leur mère aussi. Et plus il sont devenus fades, il est devenu amer. Il a commencé à être plus impulsif, plus soupe au lait, et nerveux. C’est avec sa petite aie que tout a viré au vinaigre, qu’il a laissé ses démons prendre le dessus. Ce jour là, il a décidé de ne plus croire en l’amour, d’éviter les femmes comme la peste. Et puis il a rencontré Rea, il y a cru, il s’est adouci, pour se faire avoir encore. Il a cessé de prendre soin de lui, d’en avoir quelque chose à faire. Après le dernier accident, il a perdu toute envie de se battre, plus rien n’était important. Il aurait préféré qu’on le laisse crever. Il est carrément imbuvable et invivable mais quand on va plus loin que ce qu’il veut bien montrer, on découvre que tout en dessous, le cameron d’autrefois est toujours là, blessé, trahi, meurtri, incapable d’affronter ses regrets. Il a des cicatrices un peu partout dont une très importance au niveau du dos suite à son premier accident, il a reçu la moto sur la main donc il a perdu quasiment l'usage de celle ci, il marche difficilement et doit souvent s'allonger. Il se déplace avec une béquille, parfois les deux les pires jours, bien que dans ces cas là il reste chez lui, alité. IL a horreur qu'on regarde ses cicatrice, il déteste qu'on lui fasse remarquer qu'il ne peut plus faire ci ou ça et essaye quand même.
citation citation citation citation tell us everything about you sois précis, sois fantasque your life story « Cameron, ne mets pas ça à la bouche veux tu ! » Je recrache le bouchon de liège de la bouteille de vin du diner que je m’amusais à mastiquer. Je crois qu’à cette époque j’ai du mâchouiller tout ce que je trouvais. Ma mère devenait dingue, la nounou aussi ! J’ai regardé ma mère et j’ai filé me laver les mains. Je savais qu’elle ne serait pas ravie si je venais mettre mes pattes sales dans la nourriture. J’ai piqué ma crise ensuite, yavait des brocolis et tout humain suffisamment honnête vous dira, tout ce qui est vert est l’œuvre du démon et forcément dégoutant. Oui encore aujourd’hui j’ai du mal à en manger. Ma mère me force, je ne veux pas, je finis envoyé dans ma chambre. Rien de bien compliqué du coup. Et quelques heures plus tard on est devant la télé et on regarde un film tout public – oui en plus tout ce qui pourrait faire peur me terrorise et je me pisse dessus, pas de jugement j’ai que 5 ans ! Aujourd’hui j’ai 7 ans et ma sœur est né. Je me penche sur le berceau, elle me chope la main et ne me la rend pas. Saleté de petite sœur. Je n’ai jamais pu la lâcher en fait et je crois qu’on est devenu des frères et sœurs très proches. « Je crois que ta sœur veut que tu joues avec elle ! » Je me tourne – comme me l’intime mon camarade – et j’ai une ptite tête qui me regarde avec ses grands yeux. Je souris. Effectivement Casey veut jouer et elle tire mon t-shirt pour m’entrainer plus loin. Elle finit par me choper la main. « Allez viens jouer ! Promis on joue pas aux barbies ! » Je crois que je l’ai légèrement traumatisée avec la dernière fois. J’ai cassé sa poupée car pas très doué avec ces trucs de plastiques. Moi je trouve ca très glauque une poupée. Bref elle sait que je déteste ça, ça et la dinette. Moi jla fais jouer aux playmobiles et à la course, la bagarre aussi.. Elle mord cette teigne en plus ! Je finis par l’emmener au parc. On fait les cons, on grimpe aux arbres, et puis on rentre chez nous. Journée banale. Ma mère a fait à diner, je regarde avec envie. Je me marre, la teigne m’a fait des guilis. On s’installe. J’ai quinze ans et le lendemain je vais sur mon vtt et je m’éclate. Paf je m’éclate contre un parpaing. Bilan pied pété. J’ai l’air con, ma sœur se marre. Une des nombreuses cicatrices que j’ai pu avoir. Faut dire que j’étais casse cou. Mais quand on y pense c’était rien face à ce qui adviendrait de moi après. « Papa tu viens.. Pas papa qu’est ce qui se passe ? » Mon père se tient la poitrine. Il a mal, très mal. J’ai 16 ans, jsuis encore qu’un putin d’ado prépubère, rien de plus, et mon père meurt sous mes yeux. Enfin il n’est pas mort de suite, il est mort plus tard. A l’hôpital. Il ne s’est jamais réveillé et j’ai vu ma vie prendre un tournant décisif. Ma sœur pleurait dans mes bras, ma mère ne réalisait pas. Elle a fait comme si pendant un an. Préparant quatre assiettes, regardant la télé seule, se couchant seule, disant « papa ne va pas tarder. » Ca nous fendait le cœur mais le médecin nous avait dit qu’au final, il n’y avait rien à faire que la soutenir. Quand elle a enfin compris, que son cœur a pu le supporter, elle est venu un soir dans ma chambre, les larmes aux yeux et a juste demandé si elle pouvait dormir là. Ma sœur réveillée nous a suivis. On a tous dormi ensemble, et elles pleuraient, moi je tenais leur main et je disais ça ira. Je n’en savais rien, mais moi aussi, je tenais sur elle pour me sortir la tête de l’eau. PREMIER ACCIDENT « Don’t look at her. » Le type commençait à reluquer sa petite amie depuis un moment, et plus il le faisait, et plus la température montait, plus Cameron s’énervait. Oh il savait à quel point il était jaloux, à quel point il pouvait aller trop loin, mais il ne pouvait pas s’en empêcher. Peut-être à cause de sa vie de famille, peut-être à cause de sa sœur, il ne savait pas, mais il avait de sacrés problèmes. « I SAID DON’T LOOK AT HER MORON ! » finit il par crier. Il se lève et envoie son poing dans la figure du type en question. Celui-ci ricane, essuie sa lèvre en sang et réplique. La bagarre aurait pu finir par les deux Ko, mais c’était sans compter les amis du mec qui prirent part à la « discussion ». Ils le rouèrent de coup et quand il fut à terre, se tenant les côtes, le type le souleva et le balança contre le mur. Ou du moins, il aurait du atterrir dans le mur, mais au lieu de ça il traversa la vitre du bar. A moitié inconscient il se retrouva dans son propre sang, incapable de bouger sur le trottoir. Quelques heures plus tard il se réveilla avec une douleur affreuse au niveau du dos et un bras abîmé. Des bouts de verres s’étaient logés un peu partout, dont un qu’ils avaient dû extraire de façon chirurgicale car enfoncé dans la base de son dos. Ça aurait dû le paralyser, a lu lieu de ça il sentait comme si on lui enfonçait une barre enfer dans le corps. Bouger était une torture. On lui expliqua que la douleur s’atténuerait, qu’il pouvait vivre avec, qu’il ne pourrait marcher pour le moment mais qu’il devait subir un tas d’exercices pour retrouver sa motricité. Après d’innombrables moments où il pensait abandonner, il se mit à se déplacer à nouveau sans aide. Même si parfois la douleur le paralysait. Elle se faisait emmerder par des types, et jlai sortie de là. Même si elle avait répété je ne sais combien de fois que de toute façon, elle s’en sortait bien seule. Ils se sont cherché, fuit, encore cherché. Et un jour, elle l’a laissé entrer dans sa vie. Ce fut son tour. Il ne supportait pas sa vie de voleuse. Il n’arrivait pas à s’y faire, et le seul moyen qu’il avait trouvé, c’était de lui dire qu’eux, ça ne marcherait pas. Ce soir-là elle lui avouait ses origines, et qu’elle l’aimait. Ce soir-là, il baissa sa garde et la laissa rester. Ce soir-là, elle partait. Cet instant marquait le début de la fin. Le début des emmerdes. Cam ne fut plus rien de ce qu’on avait pu connaitre de lui. Il retournait dans son gouffre sans fond, dans ses ténèbres et refusaient que quiconque ne vienne à lui. Le whisky devint son meilleur ami, fidèle à lui-même Jcrois que ce jour-là je devais être fou, ou bourré comme un coin. Je ne sais pas, je sais plus, mais ce jour-là, une partie de moi s’est figé, coincé dans une faille du temps, condamné à se noyer, se perdre, crever, dans ses prunelles chocolat. Jpense que cette partie de moi lui a donné mon coeur ce jour-là, sans comprendre, sans vraiment réaliser. Je venais de tomber amoureux de la femme qui me détruirait. La raison me fit fuir, ma raison me fit comprendre, ce n’était pas bon pour moi, sain, c’était dangereux. Pourtant, je n’ai pas écouté, j’ai foncé. Devrais-je dire comme toujours ? J’ai tout donné, j’ai tout perdu, je sais pas. J’ai cherché à savoir quel était le secret de la petite Nevenka, de la douce et pourtant sauvage petite Reagan qui portait le poids de ses regrets sur les épaules. J’avais perdu mon père, elle s’était perdue elle-même dans le gouffre de ses peurs, ses démons. Et j’avais fusionné avec eux, j’étais devenu tout ce dont elle ne supportait pas la vue. L’amour, un truc qu’on ne savait pas faire, qu’on ne maitrisait pas, qu’on ne pigeait pas. On s’est cherché, puis finalement trouvé, ça a mis des mois et puis un soir, tout a changé. Je tentais de lui expliquer que je ne pouvais accepter ses travers, elle me dévoilait sa vie, son identité, et laissais échapper un je t’aime. J’étais amoureux et incapable de la laisser partir, dans un souffle je l’ai priée de rester. Je n’aurais pas dû y croire, elle ne savait elle-même qu’elle ne pouvait pas. Elle prit la fuite cette nuit-là, et j’ai cessé d’exister, en un sens.
SECOND ACCIDENT
Il était sorti boire avec des amis. Ca faisait un an qu’il n’avait revu Rea. Il pensait souvent à elle, mais tentait d’éviter, parce qu’il avait mal à chaque fois. Il l’avait aimé, même si leur dernière altercation n’avait pas été ce qu’il aurait voulu. Elle était partie. Il sortait du bar, après avoir bu. Trop bu sans doute. « Hey Cam, tu ne vas pas prendre ta moto ? » Il rit et enfile son casque sans attendre que son pote ne réagisse. Il s’éloigne, il accélère. Des flashs surviennent. Elle derrière lui, le serrant pour ne pas tomber. Lui caressant sa main. Le camion qui surgira fera tout pour freiner, mais la moto volera tout de même. Cam ouvre les yeux, il est à terre, il a mal, plus mal qu’il n’a jamais eu, mais ce n’est pas la douleur physique qui le paralyse, c’est la sensation qu’il a perdu une partie de lui il y a un an. Et qu’il ne la récupérer pas. Il ne lutte pas, il se laisse porter, il ferme les yeux. Il se réveille à nouveau entouré de toute sorte de trucs attachés à lui. Il a un respirateur dans la bouche, on le lui retirer et il tousse à en cracher du sang. Il apprend qu’il est là depuis deux mois, qu’on le pensait mort. On pensait à tout débrancher. Il panique et tente de se relever, mais il n’y arrive pas. Il balance le plateau repas au sol. Il ne veut pas soulever la couverture. Il ne veut pas voir. Multiples fractures qu’on lui dit. Il va devoir rester là un moment. Il a de multiples fractures aux jambes mais le plus inquiétant en un sens est l’état de sa main. Il ne peut pas la bouger. Il essaye et manque de tomber dans les pommes. Il s’énerve. On ne sait pas à quel point les dégâts sont importants. Ni s’il pourra récupérer toute la mobilité qu’il avait. La moto était sur sa main, et il n’avait pas une mobylette...
Quand tout fut trop douloureux pour le supporter et qu’un pote me proposait de rejoindre l’Afrique du sud, je ne fus pas long à choisir de rejoindre l’endroit. J’avais besoin de souffler, de voir autre chose, de changer d’air. J’avais atterri à JeffreysBay et j’étais loin d’être ravi quand je compris que ma mère s’était arrangée pour me coller des aides à domiciles. Elles défilèrent d’ailleurs un bon moment, lassée de se coltiner l’être le plus odieux qu’elle pensait avoir croisé. Parler d’elle, râler était devenue une sale habitude. Je ne savais pas supporter les gens, ils me gonflaient, tous, j’étais incapable d’être poli ou agréable, ma vie avait pris un tournant et je n’étais pas prêt de me relever un jour. Réa avait réussi, je n’étais plus rien sans elle, et toute ma haine pourtant, lui restait entièrement dévouée. Junkiie behind the screen Reconstruction du personnage.
Dernière édition par Cameron Heigh le Mer 19 Mar - 21:35, édité 1 fois |
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